
L'installation de caméras et de micros au domicile conjugal est considéré comme une faute grave justifiant une procédure de divorce pour faute.
Suspectant que sa femme le trompait, un époux a fait installer au domicile conjugal et sans prévenir son épouse des caméras et des micros.
Par arrêt en date du 27 juin 2013, la cour d'appel d'Amiens (arrêt n°12/02114) a retenu que "le fait pour le mari d'installer des micros et caméras dans le domicile conjugal, présente un caractère injurieux
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